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Im Auge der Sonne
Film
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Reviews


Im Auge der Sonne INTINAHUI.
Ein Film von Klaus Schrefler
[Steirische Berichte,
April 2011]
Bettina Messner

Orginal-Artikel

gelesen. gehört. gesehen.

Licht, Entstehen, Werden, Mitnehmen auf eine Reise durch Bildweiten, zeitlos, Assoziationen weckend, zusammenfließende Formen, ursprünglich, Wasser, äußere und innere Welten, Mikro- und Makrokosmen, meditativ, (sich) wandelnde Zeichen, Öffnen und Schließen, Erde, Anklingen von Symbolen, Bedeutungen, Mythen, ineinanderfließende Übergänge, Wege, Tunnels, Überlagerungen, Ausschnitte, Blickwinkel, Zooms und All-Over, von unten und von oben, Himmel, zusammenfmden, absorbieren, sich lösen,
wegdriften, entwickeln, kristalline Strukturen, Muster, Systeme im scheinbaren Chaos, Uni- und Multiversen, aus der Mitte, Kommen und Gehen, Vergessenes erinnern, archaisch, Zulassen, gegen die Sehgewohnheiten Fühlen, im permanenten Fluss sein, Vergehen und neu Beginnen, Dunkel.

Der 3D-Animationsftlm "Im Auge der Sonne" kommt 26 Minuten lang ohne narrative Elemente aus und erzählt doch vom Kreislauf des Lebens, Im Zentrum steht die visuelle Wahrnehmung, die einen in ihren Bann schlägt. Wie ein roter Faden zieht sich die symbolische Bedeutung der Zahlen von I bis 9 durch die ineinander fließenden Sequenzen. Langsam, eindringlich und eindrucksvoll entwickelt sich der Sog der abstrakten und doch so realen Welten und lässt viel Raum im Raum.
Ein Seh- Erlebnis!

Durch die Verwendung des Titels "INTINAHUI", ein Wort in Quichua, aus der Familie indigener Sprachen aus dem Andenraum Südamerikas, wird auf das oft längst vergessene Wissen archaischer Kulturen hingewiesen, Inspiriert durch ein Sonnensymbol,
das auf 3.000 Meter Seehöhe in den Anden einen Punkt markiert, wo archaische Kulturen die wichtigsten Absch nitte des Lebens gefeiert haben, wurde der Film ab 2001 vom Grazer Biologen und Künstler Klaus Schrefler in Zusammenarbeit mit Thomas Siegl, Martin Schemitsch, Elmar Ranegger und "Dr. Nachtstrom" (Soundtrack) entwickelt.

2009 gewann INTINAHUI den Special Jury Award tür "Best Experimental Film" beim 42nd International WorldFest Houston, Texas, USA. 2010 wurde der Film beim Ars Electronica Animation Festival in Linz, im Februar 2011 beim National Multicultural Festival Canberra, Australia gezeigt.

Bettina Messner, Kunsthistorikerin


Projection d´un film d´animation en 3D au cinéma Little Rex:
[El Watan,
6.Oktober 2010]
K. Smail

Orginal-Artikel
/ Online-Artikel in El Watan

Sous les auspices de l’ambassade, un événement cinématographique a été organisé, lundi soir, à la salle Little Rex de Hydra, à Alger l 
Une avant-première en Afrique du film d’animation en 3 D intitulé Intinahui de Claus  Shrefler.

Une projection du film Intinahui de Claus Shrefler dans une ambiance cinéphile, conviviale et surtout chaleureuse. Et ce, en présence de Madame l’ambassadrice d’Autriche, Wörgetter Aloisia, de journalistes, d’amis du ciné-club du  Little Rex, et d’hommes issus du monde du cinéma comme le réalisateur et producteur Belkacem Hadjadj ou encore le producteur et distributeur, Boualem Ziani.  Claus Shrefler est inclassable. C’est un biologiste et scientifique autrichien. Mais il est animé par une fibre artistique pour ne pas dire , sans jeu de mot, «optique». La preuve ! Claus Shrefler, 41 ans, à l’issue d’un voyage, une quête initiatique en Amérique latine, fut complètement obnubilé par la civilisation et la culture andines. Aussi, il démontra cela ! La preuve par 3 ! L’animation en 3 D.

C’est un projet datant de 9 ans. Il concevra un court métrage de 26 minutes intitulé Intinahui : dans l’œil du soleil en quechua, langue ancestrale des Andes, en Amérique latine où le soleil fait partie de l’humain. Ainsi, Intinahui, sorti en 2009, est une œuvre artistique, créative et anticipative. Et de surcroît,  triptyque par rapport aux éléments de sa trame : la culture andine, la sculpture de l’Equatorien Luis Viracocha et le relief à l’œil design de Claus Shrefler. Et tridimensionnelle de par le story board de Intinahui : le corps, la dualité et le temps. Le pitch ? La présence du soleil est permanente et sans condition pré-requise. Son énergie se trouve au sein de chaque être vivant et elle connecte chaque partie du for intérieur.

En quechua, une langue parlée par des peuples indigènes dans la région des Andes en Amérique du Sud. Inspiré par des anciens lieux de culte comme Ingapirca et par les travaux du sculpteur Luis Viracocha, le réalisateur Klaus Schrefler a développé un système de symbolisme des nombres pour la reconstruction tridimensionnelle de certaines sculptures importantes, ce qui servira de base pour les séquences animées du projet artistique Visual Media. Le langage universel des séquences animées représente un support primaire de communication.  L’ œuvre  est composée de neuf parties distinctes représentant les rythmes de la vie-même.

La trame symbolique provient de la signification des nombres de 1 à 9, qui possèdent des caractéristiques similaires dans plusieurs cultures différentes. Par-dessus tout, ils sont souvent considérés comme la matrice à la base de l’existence.  Au-delà  du concept des nombres, Intinahui est une séquence d’images qu’on a déjà pu voir en rêve. L’animation se concentre sur des composants sensuels et déverse un flot visuel continuel de sensations plus adaptées au grand écran. La conception complexe de cette œuvre est à l’opposé de la tendance actuelle, il n’y a pas de coupes, pas de dialogues.

La force de cette œuvre surgit de son impact visuel. Par conséquent, ce film est bâti comme une immense peinture représentant à la fois un microcosme et un macrocosme. La trame du  projet réside fortement dans le domaine visuel – il n’y a pas de narration classique. Le contexte visuel sert de colonne vertébrale au projet, de manière à ce que l’œuvre se développe, sans tenir compte de la langue, de la culture ou des origines – se tissant comme un rêve dans un rêve. Intinahui symbolise une œuvre interculturelle et multidisciplinaire, créée par Klaus Schrefler et développée uniformément selon un processus dynamique. Une autre preuve par 9.

Celle de la matrice. Aussi, Intinahui est un clip de 26 minutes, sans coupes, symbolique, amniotique, onirique et très créatif. Claus Shrefler a reçu le WorldFest Grand Remi Award, à Houston (Texas, USA), en avril 2009. Une récompense saluant son talent. Mention spéciale à la fine équipe du cinéma Little Rex, emmenée par Leïla, promouvant le cinéma universel avec passion.

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Projection en 3D  du court-métrage “Intinahui” de Klaus Schrefler:
[Liberte,
Oktober 2010]
H. M.

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Projection en 3D  du court-métrage “Intinahui” de Klaus Schrefler
Sous l’égide de l’ambassade d’Autriche en Algérie, le court-métrage autrichien Intinahui (dans l’œil du soleil) de Klaus Schrefler a été projeté, avant-hier soir, à la salle de cinéma Little Rex, à Hydra. Ce film d’animation 3D de 26 minutes a été projeté pour la première fois en Afrique. Composé de plusieurs parties, des images en 3D, représentant la terre, le soleil, les quatre éléments terrestres, un cordon ombilical…, ce film tend à expliquer que ces éléments représentent l’existence, la vie. Klaus Schrefler, de formation biologiste, a étudié l’animation dont le film lui a pris neuf ans de préparation, soit de 2001 à 2008. Intinahui a été projeté dans plusieurs salles en Europe.

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Klaus Schreflers Meisterwerk auf der Ars Electronica erfolgreich:
[80
Kulturzeitung, Ausgabe 79, September/Oktober 2010]
Birgit Kahapka
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Biologie und Kunst – zwei scheinbar konträre Weltauffassungen? Klaus Schrefler, Künstler und ausgebildeter Biologe, begeisterte auf der Ars Electronica mit einem starken Statement zur ewigen Frage, der nach dem Kreislauf der Natur. „INTIÑAHUI - Im Auge der   Sonne“, das 1999 mit dem „Grand Remi Award“ in Houston preisgekrönte Meisterwerk in 3D, entführt zurück zu den Ursprüngen allen Seins, zu den mythischen Ideen über den Kosmos und seine Wirkkräfte. In aufwendiger Montage, ungewöhnlichen Zooms und an Poesie grenzenden Worten verschwimmen die Grenzen zwischen Innen- und Außenperspektive der menschlichen Wahrnehmung. „Das Meer ist Teil des Tropfens, wie die Sonne Teil von uns“, heißt es und der Grazer Komponist Walter Brandtner alias Dr. Nachtstrom liefert die eindringliche Musik dazu. Bildstarke Unterstützung fand Schrefler bei Martin Schemitsch und Thomas Siegl. Wie sehr der Grazer Beitrag an die Ars Electronica begeistert, war schon vor Monaten im Schubert-Kino spürbar.

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Der kosmische Körper
Steirischer 3D-Animationsfilm „Intiñahui“ feiert Erfolge:

[
Kronenzeitung, 15. November 2009]
Christoph Hartner
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„Intiñahui – ImAuge der Sonne“ nennt sich der aufwendige 3D-Animationsfilm von Klaus Schrefler und seinem Team. Im amerikanischen Houston wurde er bereits mit dem „Grand Remi Award“ ausgezeichnet. Nun wurde der Film im Schubert Kino erstmals in Graz präsentiert. Ab sofort ist er auf DVD erhältlich.

Der kosmische Körper Eine Ecuador-Reise hat den Biologen und Künstler Klaus Schrefler zu dem 26-minütigen Animationsfilm inspiriert. Es sind alte Mythen über den Kreislauf der Dinge und die Verbindungen zwischen Makro- und Mikrokosmos, mit denen er sich in sphärischen Bildern beschäftigt. „Das Meer ist Teil des Tropfens, wie die Sonne Teil von uns“, heißt es da an einer Stelle etwa. In Zooms und Kamerafahrten löst Scherfler die Grenze zwischen Innen und Außen, Körper und Kosmos, Fantasie und Realität, Mythos und Technologie auf.

Bei der Erschaffung dieser Bilder standen ihm die Grazer Animatoren Martin Schemitsch und Thomas Siegl zur Seite, für die Musik zeichnet Walter Brandtner alias Dr. Nachtstrom verantwortlich. Das Resultat
ist ein gänzlich „anderer“ Animationsfilm, ohne klassische Handlung und Figuren, der Versuch den Rhythmus des Lebens in Bilder zu fangen. Ein filmisches Abenteuer zwischen Technologie und Poesie.
Informationen zum Film und zur DVDfinden Sie im Internet unter www.inti.at.

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Ein Filmer kehrt zurück
[Der Grazer, 15. November 2009]
Tobit Schweighofer

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KINO. Den mehrfach ausgezeichneten Film „Intiñahui" des Grazers Klaus Schrefler gab's schon in Kinos auf der ganzen Welt zu sehen. Jetzt wird der Streifen erstmals in Graz gezeigt

Der Prophet gilt nichts im eigenen Land." Ein Spruch, der gerne und zu oft angewandt wird, aber auf den Grazer Künstler Klaus Schrefler tatsächlich zutrifft. In Indien, den USA, Kanada, Frankreich und Dänemark gab es seinen Animationsfilm "Intinahui" schon zu sehen. In Graz hingegen blieb die Leinwand bislang finster. Dies ändert sich jetzt: Der Streifen ist noch bis Donnerstag, 19. 11., im Schubertkino zu sehen.

Weltreise eines Films
Warum es erst dieser Weltreise bedurfte, bevor der Streifen hierzulande anlaufen konnte, ist auch Schrefler selbst nicht klar. "Wir wurden auf internationale Festivals eingeladen und von den hiesigen eben abgelehnt. Ich weiß ehrlich nicht, warum das so ist." Dabei gingen die internationalen Auftritte sehr erfolgreich über die Bühne. Beim Filmfestival "WorldFest" in Houston erhielt der Film eine Auszeichnung, in Indien erhielt er eine Einladung zum größten Filmfestival des Landes, zu dem nur 20 Kurzfilme aus aller Welt eingeladen wurden. Schrefler: "Die Reaktionen dort waren ebenfalls positiv, das war für mich besonders interessant, da die indische Filmkultur mit den Bollywood-Filmen ja ganz anders ist als unsere."
"Intinahui" ist aber auch nicht unbedingt im westlich gängigen Erzählgenre einzuordnen. Schrefler: "Der Film ist in gewisser Weise ein Experiment. Wie in anderen Kunstrichtungen schon üblich, wollte ich auch im Film ein Thema über dreidimensionale Abstraktionen veranschaulichen." Dabei scheute der Grazer Künstler, der auch für seine Skulpturen bekannt ist, -jahrelange Arbeit nicht. In acht Jahren bearbeiteten er und sein Team 500.000 Einzelbilder, um das 30 Minuten lange bildgewaltige 3D-Abenteuer zu schaffen.

Das ewige Leben
"Intinahui" erzählt in 30 Minuten vom Kreislauf des Lebens, den roten Faden der Darstellung bilden dabei die Zahlen eins bis neun, gedeutet und interpretiert anhand der Zahlenmystik der indigenen Bevölkerung der Andenregionen. "Als ausgebildeter Biologe interessiert mich der Kreislauf des Lebens speziell. Ich habe bei der Umsetzung der 3D-Animation darum auch bewusst keine Schnitte gesetzt, alles fließt, alles ist ein ewiger Kreislauf. Als Zuseher kann man, wie in einer Ausstellung, von Bild zu Bild wandern und sich die Geschichte übet seine eigenen Emotionen erzählen lassen."
Der Erfolg animiert Schrefler zu weiteren 3D-Abenteuern:"Das war sicher nicht meine letzte Arbeit, ich habe auch schon jede Menge Ideen für den nächsten Film."

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Endlich fertig, Herr Schemitsch?
[Falter 46/09, 11. November 2009]
Tiz Schaffer

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Martin Schemitsch war mitverantwortlich für die 3D-Animation von "Intiñahui - Im Auge der Sonne". "Die Fertigstellung des Filmes hat wirklich wahnsinnig lange gedauert. Schon 2003 ist Regisseur Klaus Schrefler an mich herangetreten, erst 2008 ist die Sache schlussendlich fertig geworden. Der Film ist unter anderem beim International Film Festival India gelaufen, in Houston bekam er den Grand Remi Award. Nach der Fertigstellung war ich fast zwei Jahre mit der DVD beschäftigt, die zusätzliche Animationen und Erklärungen zum 26-minütigen Film beinhaltet, der beim ersten Sehen sicher nicht leicht zu verstehen ist. Es ist eine virtuelle Reise in die Zahlenmystik der indigenen Völker Ecuadors, im Speziellen geht es um die Zahlen eins bis neun." Premiere am 13.11. um 22.00 im Grazer Schubertkino.

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Steirer des Tages - Die Rhythmen des Lebens
[Kleine Zeitung, 6. Mai 2009]
Christian Penz

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Mit seinem Animationsfilm ,,Intinahui" holte sich der Künstler Klaus Schrefler eine Auszeichnung beim Filmfestival "WorldFest" in Houston.

Von Null auf Hundert haben schon unzählige Künstler hoch gesteckte Ziele erreicht. Einen anderen Weg wählte Klaus Schrefler: Von eins bis neun war sein (Zahlen)-Schlüssel zum Erfolg. Mit der Symbolik hinter diesen Ziffern zeichnete der 40-Jährige den Rhythmus des Lebens filmisch nach, taufte seinen 30 Minuten langen Streifen"Intinahui" (bedeutet "Im Auge der Sonne") und holte sich mit dem vollständig 3D-computeranimierten Streifen den "Grand Remi Award" beim 42. Annual WoridFest in Houston.
,,2001 bin ich in Ecuador bei einer Kultstätte der Indianer gesessen, da kam mir die Idee, das Projekt zum Thema Lebenszyklus anzugehen", erklärt der seit 1988 in Graz lebende, gebürtige Linzer. Das Ergebnis ist die Fusion
verschiedener Disziplinen (Malerei, Animation, Musik), die sich in einem Film - er wird im Juni aufDVD präsentiert - vereint. Interdisziplinäre Arbeit wurde beim Projekt groß geschrieben, ein Teil davon ist etwa eine 2,5 Tonnen schwere Skulptur eines ecuadorianischen Bildhauers, die ihre Heimat beim ScWoss St. Martin bei Graz gefunden hat. Zum Film gekommen ist Klaus Schrefler über die Kunst-Fotografie,"plötzlich faszinierte mich das bewegte Bild mehr", so Schrefler. Bewegt ist auch das Leben des studierten Ökologen, der auf mehr als 30 Reisen zurückblicken kann. Seine Lieblingsziele dabei: Thailand und Japan.

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Film-Preis
[OÖN, 5. Mai 2009]
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Für sein 3D-computeranimiertes Werk "Intinahui", das sich mit dem Zyklus des Lebens befasst, erhielt der 1969 in Linz geborene Klaus Schrefler beim 42. WorldFest Houston in Texas den Preis für den besten Experimentalfilm.

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Film-Preis für Grazer Künstler
[Kleine Zeitung, 5. Mai 2009]
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Hohe Auszeichnung für den von einem Grazer Team rund um Regisseur KlausSchretler produzierten Experimentalfilm "Itinahui" ("Im Auge der Sonne").
Beim Houston World-Fest, das komplett dem Independent-Film gewidmet ist, heimste der vollständig 3D-computeranimierte Streifen mit dem Grand-Remi-Award den höchsten Preis des Festivals ein. Der preisgekrönte Film - für die Animation waren Thomas Siegt und Martin Schemitsch verantwortlich, für die Montage Elmar Ranegger - wird ab etwa Ende Juni als DVD erhältlich sein.

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Graz: Sneak-Preview
Großes Kino im Kunsthaus Graz
[Kronenzeitung, 6.Jan 2009]
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"Intiñahui - Im Auge der Sonne", ein 3D-Animationsfilm von Klaus Schrefler, wird gemeinsam mit "Die fantastische Reise", dem Science Fiction Film von Richard Fleischer aus dem Jahr 1966, im Rahmen von "my own private cinema" am 8. Jänner ab 19 Uhr als Sneak-Preview im Grazer Kunsthaus gezeigt.

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Short Film Center attractions by Conchita Proenca
[ESG Daily, 28th Nov 2008]
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Intinahui - In The Eye of the Sun; Directed by Klaus Schrefler, Austria; Screening at 10.00 am, Maquinez Palace

The presence of the sun is permanent and without pre-condition. Its energy is a part of every living being and connects the parts within. In Quechua, a language of indigenous people in the Andes in South America, Intinahui means "in the eye of the sun" and is inspired by ancient places of worship.

Klaus Schrefler developed a symbolism of numbers for the three dimensional reconstruction of some central sculptures as a base for the animated sequences of the Visual Media Art Project. The universal languoge of the animated sequences serves as a primary medium of communication.

Klaus has also made a number of video albums in the 90's. His first productions include music videos Back To The Bone (1998), Rhythms Of
Violence (1999).

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Im Auge der Sonne – Ökologisch und sozial engagierte Kunst von Klaus Schrefler
[KORSO - das nachhaltige Magazin für Graz und die Steiermark]
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Mit Unterstützung durch die INSTYRIA Kultur-Service GmbH stellt KORSO monatlich in der ARTBox steirische KünstlerInnen vor.

Während einer Reise durch Ecuador im Jahr 2001, kam der 1969 in Linz geborene Grazer Klaus Schrefler nach Ingapirca, einer in den Anden gelegenen indigenen Kultstätte. In Ingapirca befindet sich ein aus der Inka-Zeit stammendes Sonnensymbol, Zeichen der Verehrung von Vater Sonne, Inti Tayta, und Mutter Erde, Pacha Mama. Wie Schrefler zum Titel seiner in Ingapirca entstandenen Idee gekommen war, ein „Gesamtwerk“ vor dem Hintergrund des Kreislaufdenkens um Entstehen und Vergehen zu beginnen, ist auch für ihn heute nicht mehr ganz klar. Er jedenfalls fand zunächst den Titel Im Auge der Sonne. Ein Freund aus Ecuador übersetzte Schreflers Titelidee mit dem Quechua-Wort Intiñahui und genau so wiederum nennen die Indigenen jenes Sonnensymbol in Ingapirca.

Kreislauf von Leben und Tod. Kontinuierlich erweiterte Schrefler die erste Idee zum Konzept, das getragen von Zahlensymbolik um die Ziffern 1 bis 9 der Inka-tradition – und auffallend ähnlich anderen Weltkulturen – zum Skript für einen dreißig Minuten langen Animationsfilm mit dem Titel Intiñahui – Im Auge der Sonne reifen sollte. Über sechs Jahre nun entwickelte er assoziative Bilder für neun Sequenzen, in denen etwa die Zahl Eins die aktive Kraft der Sonne als den Ursprung allen Lebens symbolisiert; Zwei ist die umhüllende, passive Kraft, das weibliche Prinzip, Sinnbild für die Dualität des Lebens; Drei bezeichnet die Schöpfung, das Entstehen von Leben; Vier sind vier Jahreszeiten, vier Himmelsrichtungen und Vier steht für das Ganze des Irdischen – bis schließlich Neun die Transformation symbolisiert, die Auflösung der Geschlechter und den Tod.

Die Arbeit am Film – seit der Erstellung des Storyboards im Juni 2001 und dem Beginn der Umsetzung im Herbst 2002 – sollte sich bis zur gerade erfolgten Fertigstellung auch als Monsterprojekt hinsichtlich Organisation und Arbeitsaufwand erweisen: Neben Schrefler waren Thomas Siegl, Martin Schemitsch (Animation) und Elmar Ranegger (Kamera, Schnitt) ständig am Werk, Paulino Alejo und Lorenzo Maza bearbeiteten die Texte und Übersetzungen ins Quechua, das Management besorgten Georg Brandenburg und Eva Gütlinger der Linux & Server-Support kommt von Peter Gantner. Zu Performances und Präsentationen während der Produktion wurde der aus Quito / Ecuador stammende Künstler, Pädagoge und Schamane Luis Virachocha eingeflogen. Allein die Renderzeit für Intiñahui betrug 13.000 Laufstunden, das entspricht durchgehend etwa 18 Monaten. Gefördert wurde das Projekt durch Mittel des Bundeskanzleramtes, des Landes Steiermark, der Stadt Graz, Cinestyria, des Landes Oberösterreich und des Bundesministeriums für auswärtige Angelegenheiten. – Das „Gesamtwerk“, wie Klaus Schrefler Intiñahui nennt, ist aber nicht allein ein Film.

Das Rad der Zeit. In Zusammenarbeit mit dem schon erwähnten Luis Virachocha und dem steirischen Künstler Walter Ackerl entstand eine Skulptur aus Sölkner Marmor mit dem Titel Das Rad der Zeit, die am 1. September 2005 nahe der Schlosskirche St. Martin enthüllt wurde. Die Skulptur mit einem Durchmesser von 180 Zentimetern und einem Gewicht von 2,38 Tonnen trägt auf ihrer Schauseite Symbole der vier Himmelsrichtungen mit deutlicher Nähe zu jenen des Films; wieder treten die Zahlen Eins bis Neun im inneren Zirkel auf. Und „zufällig“, erzählt Schrefler, treffen die Strahlen der auf- und untergehenden Sonne jeweils bei Tag- und Nachtgleiche durch eine zentrale Öffnung in diesem Zeitrad. Denkt man sich die Sonnenstrahlen zum besagten Zeitpunkt in einer Achse verlängert, träfen sie genau auf Ingapirca, dem Ausgangsort für Intiñahui: „Wir hätten diesen Effekt nicht berechnen können …“.

The Syndicate. Klaus Schrefler ist promovierter Botaniker. Sein Arbeitsschwerpunkt als Lehrbeauftragter an der Uni Graz und als freier Wissenschafter behandelt vorwiegend ökologische Fragen. Im Rahmen von EU-Projekten beispielsweise war er beschäftigt für ein Österreichisches Programm zur Förderung einer umweltgerechten, extensiven und natürlichen Lebensraum schützenden Landwirtschaft. Als Künstler Autodidakt, stammen die Anstöße, Fragen um die menschliche Existenz auf dem Planeten im Kontext spartenübergreifender Kunst zu behandeln, wohl in erster Linie aus seiner wissenschaftlichen Tätigkeit, die etwa Biotopkartierungen im alpinen Raum, Vegetationsaufnahmen auf der Turracherhöhe oder einen Konsulentenauftrag für Natura 2000 in den Niederen Tauern umfassen. Schrefler ist auch als Erwachsenenbildner und Trainer tätig. In enger Beziehung zu Erfahrungen aus dieser Arbeit entstand ein Filmprojekt mit dem Titel Rhythmen der Gewalt, das auf zwei chronologisch gegenläufigen Spuren im selben Bild von Gewalt in der Familie handelt. Gewalt, meint Schrefler, entsteht bereits im Bewusstsein des Individuums, im disparaten Denken und Handeln im weitesten Sinn gegen eigenes Wohlbefinden. So beschreibt er die Motivation seiner Arbeiten auf das ideelle Ziel ausgerichtet, „Ängste und Erwartungen der Menschen zu reflektieren und sie damit zu konfrontieren, eigene Existenz vor gesellschaftlichem Kontexten zu hinterfragen“. Themen wie Armutsbekämpfung, Umweltschutz und der Einfluss des Konsumverhaltens auf die Ausprägung der Zustände in der Welt bestimmen, wie er erzählt, sein Denken. Überzeugt davon, dass Kunst ein probates Mittel ist diesen Prozesses menschlicher Entwicklung zu unterstützen, gründete er The Syndicate - intercultural network for transforming arts, eine Vereinigung von KünstlerInnen und ManagerInnen, die disziplin- und länderübergreifende Kunstprojekte umsetzt. „Zentrales Ziel ist es mit den Mitteln der Kunst jene Wert- und Weltbilder zu transformieren, die einer friedvollen Welt im Wege stehen, nach dem Motto: Wie können Einzelne die Fülle genießen, so lange ein Großteil im Kollektiv der Menschheit von Armut, Hunger und Krieg geprägt wird“.
In diesem Sinn waren Klaus Schrefler und Eva Ursprung auch mit der Organisation eines vom Afroasiatischen Institut in Graz initiierten Projekts zugange, in dessen Rahmen nigerianische Künstler im Frühsommer dieses Jahres ihre Uli-Malerei im ESC im Labor vorstellten. Reibungsfrei ging naturgemäß auch diese Organisation nicht vonstatten: Den Nigerianern wurden in einem ersten Ansuchen die Ausstellung von Visa zur Einreise nach Österreich verweigert – mit der Begründung, sie könnten, einmal in Österreich, eventuell um Asyl ansuchen.

Mehr zu Klaus Schrefler unter http://karasu.mur.at , www.schrefler.org und http://kulturserver-graz.at/v_en/schrefler.html

[Korso, Wenzel Mraček, 11-07-07]

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Das Rad der Zeit - Eine interkulturelle Skulptur [SOL - Solidarität mit Lateinamerika]

Das Rad der Zeit - eine Kommunikationsskulptur

Eine interkulturelle Skulptur realisiert Im Rahmen von Crossing Cultures
Ein Aspekt aus dem World-Art-Projekt INTIÑAHUI - Im Auge der Sonne v. Klaus Schrefler

Im Auge der Sonne

Denn das Meer ist Teil des Tropfens, so wie die Sonne Teil von uns!

Wir schreiben das Jahr 2005, eine ca. 2,3 Tonnen schwere Marmorplastik, von Bildhauern aus Ecuador und Österreich geschaffen, soll in diesem Jahr dem Ort ihrer Bestimmung übergeben werden. Es scheint, als hätte sich das Rad der Zeit nicht unerheblich weitergedreht, seit die Idee dieser interkulturellen Kooperation geboren wurde. Im September 2001, als ich den Weg nach Quito, Ecuador antrat, wurde der Grundstein gelegt - bei meiner Rückkehr nach Österreich war in mir der unumstößliche Wille zu einem Projekt verankert, dessen eigentliche Dimension zu dem Zeitpunkt wohl selbst für mich als Initiator nur zum Teil abschätzbar war.

Nach Guatemala, Südmexiko und Belize hatte ich die Absicht eine Reise in den südlichen Bereich dieses Kontinents anzutreten. Auf Einladung meines Freundes Lorenzo Maza sollte ich mich kreuz und quer durch verschiedene Regionen des südamerikanischen Landes bewegen, von den im Oriente gelegenen oberen Quellregionen des Amazonas hinauf zu den faszinierenden Vulkanen der Anden, nach Ingapirca, einer alten kulturellen Stätte im Süden Ecuadors. Oberflächlich betrachtet, im Vergleich zu anderen Stätten eher wenig spektakulär, trugen die alten Tempel eine magische Kraft in sich, der Ort selbst strahlte in einer Energie, die in mir Visionen auslöste. Wenig verwunderlich, dass sich die Bilder in ein Skript für ein seit längerem geplantes Videowerk einfügten, das ich in Gedanken immer weiterentwickelte. Bei meinem späteren Aufenthalt in Quito bei Luis Viracocha, einen renommierten Bildhauer, erweiterten sich die aufgezeichneten Notizen und Bruchstücke um eine weitere Dimension. Ich überarbeitete die Skizzen und Ideen mit dem Resultat eine filmische symbolhafte vorrangig sinnliche Darstellung der Zahlenmystik kreieren zu wollen, realistisch und abstrakt zugleich. Nicht der narrative Aspekt sollte im Vordergrund stehen, sondern die sinnlich wahrnehmbare Komponente der Bilder, weniger der Verstand, als das körperliche Erfahren. Um unser beider - trotz unterschiedlicher Kulturen doch so ähnlichen - Zugang zu den spirituellen Wurzeln zu manifestieren, wurde von uns eine Kulturenverbindende Skulptur in Stein geplant.

In den kommenden Jahren verlangte die Arbeit an dem Filmwerk meine volle Aufmerksamkeit. Erst 2004 gelang es dank Mag. Pauline Riesel-Soumare, Mag. Angelika Vauti und Dr. Heimo Steps durch die Einbeziehung des Gesamtprojektes in die Reihe Crossing Cultures des Afro-Asiatischen Instituts Graz, mit Unterstützung des Landes Steiermark auch die interkulturelle Skulptur zu verwirklichen. Ziel war es, eine symbolische Verbindungslinie zwischen den Kontinenten zu schaffen, eine Brücke, ein Sinnbild für die Kommunikation der entwickelten Länder mit dem finanziell schlechter gestellten Süden unserer Welt - eine Land-Art-Skulptur als Manifestation dieses Strebens nach Auflösung von Schranken und Barrieren.

Im September 2004 begann schließlich die Arbeit, nachdem in der Gemeinde Kleinsölk ein Ort für die Produktion des Werks gefunden war. Um geeignetes Material auszuwählen begaben wir, der soeben aus Ecuador kommende Luis Viracocha, der steirische Bildhauer und Restaurator Walter Ackerl, und ich, uns, begleitet von der Übersetzerin Gina Brandenburg auf das Gelände des Sölker Marmor, nachdem uns vom Geschäftsführer Herrn Matthias Scheffer freundlicherweise die volle Unterstützung für unser Vorhaben zugesichert wurde.

Über Wochen hinweg wurde von uns an dem Marmorblock gearbeitet, das rund 300 Millionen Jahre alte Gestein verlangte seinen Tribut - von Mensch und Werkzeug. Kein Wunder, der Sölker Marmor ist unter seinesgleichen einer der härtesten.

Das Werk wurde so konzipiert, dass bei der Aufstellung in Österreich die Montage der Skulptur mit direkter geographischer Ausrichtung auf Ecuador erfolgen sollte. Was wir nicht ahnen konnten: Bei einer Aufstellung in Graz fiel die Normale bei der Ausrichtung nach Ecuador exakt mit jenem Winkel zusammen, von dem bei der Tag-Nacht-Gleiche die Sonnenstrahlen bei Sonnenauf- bzw. -untergang kommen. Mit anderen Worten: Ein durch das Zentrum der Skulptur fallender Sonnenstrahl beschreibt exakt jene Linie, die global verlängert Graz mit Ingapirca verbindet.

Die Steinskulptur selbst ist in ein künstlerisches Gesamtkonzepts integriert. Für die Zukunft ist angedacht in Ecuador ein Pendant entstehen zu lassen. Mit der Ausrichtung der steirischen Skulptur in Richtung Ecuador und der des Gegenstücks auf der ecuadorianischen Seite in Richtung Steiermark wird die permanente symbolische Verbindungslinie realisiert.

Der soziokulturelle Hintergrund und das geforderte Engagement

Die Situation indigener Kulturen vor dem Hintergrund geänderter globaler Rahmenbedingungen und einer sich im Zuge weltwirtschaftlicher Tendenzen immer stärker öffnenden Schere zwischen Arm und Reich, Nord und Süd, Menschen mit Bildungszugang (vermeintlich gebildet) und ohne Bildungszugang (vermeintlich ungebildet) und den daraus folgenden sozialen Strukturveränderungen erfordert verantwortliche und nachhaltige Aktion. Es stellt eine der zentralen Anforderungen an die Kunst dar, gesellschaftliche Entwicklungen zu hinterfragen, auf kritische Entwicklungen hinzuweisen und als Kommunikationsachse zu fungieren.

So wie die Arbeit konzeptuell für einen Brückenschlag zwischen Österreich, Europa und Ecuador, Lateinamerika steht, so bestand auch Einigkeit, was die Bestimmung einer derartigen Arbeit betrifft - mit der Platzierung der Skulptur sollte ein sichtbares Zeichen gesetzt und die Arbeit dem dahingehenden Einsatz gewidmet werden.

Der steirische Verein SOL Steiermark steht mit seiner langjährigen Projektarbeit für dieses Engagement. Bereits der Name, die Verbindung der Bedeutung von Solidarität und Sol [span.: Sonne] weist Querverbindungen zum Gesamtkonzept der künstlerischen Arbeit auf. Das 20-jährige Bestehen des gemeinnützigen Vereines, das im Herbst 2005 gefeiert werden soll, bietet sich für die Eröffnung der Verbindungslinie an.

Mit dem Vorschlag von DI Hermann Schaller das Umfeld des Schlosses St. Martin für die öffentliche Präsentation der Skulptur auszuwählen, schloss sich schließlich der Kreis. Direktor HR Dr. Martin Schmiedbauer erklärte sein Einverständnis und die genaue Lokalisierung wurde vorgenommen. Mit der Positionierung der Arbeit im öffentlichen Raum, an einem Ort, an dem sie mit den Rhythmen der Jahreszeiten pulsiert, wird ein sichtbares Zeichen gesetzt. Herzlichen Dank allen Mitwirkenden und all jenen, die die Realisierung des Projektes unterstützt und mitgetragen haben.

Zum Gesamtwerk:

Thematisch beschäftigt sich dieses von Klaus Schrefler initiierte interdisziplinäre Kunstprojekt mit den Rhythmen des Lebens, den roten Faden der Darstellung bilden dabei die Zahlen Eins bis Neun, gedeutet und interpretiert anhand der Zahlen-Mystik der indigenen Bevölkerung der Andenregionen. Der Titel bedeutet in den Sprachen Quichua/Kechua [indigene Sprachen in Bereichen des heutigen Ecuador, Bolivien & Peru] so viel wie IM AUGE DER SONNE [vgl. transl. Inti: die Sonne].

INTIÑAHUI ist ein multidisziplinäres, interkulturelles, in einem dynamischen Prozess konsequent weiterentwickeltes Kunst-Opus mit dem Ziel der Verbindung unterschiedlicher künstlerischer Genres. Die Ergebnisse sind real in Form von Filmen, Skulpturen, Grafiken, Gemälden, Land-Art, NetArt und Performances greifbar. Ziel ist ein Brückenschlag zwischen Moderne und archaischem Wissen, ein Vereinen der Disziplinen wie der Kulturen, ein Statement für Balance zwischen Extremen.

Das Konzept der Steinskulptur entspricht der Grundintention des interkulturellen Programms Intiñahui - der Darstellung der Kreisläufe und Rhythmen des Lebens durch interdisziplinäre Wechselwirkungen und verbindende Elemente. Der kreative Ausdruck ist ein Zeichen der wertschätzenden Form des Dialogs.

Gewidmet:

Dem Leben per se, insbesondere jenem der leider vielen noch immer unfreien indigenen Völker und ihrem Wissen!

http://www.inti.at

Die Realisierung der Skulptur wurde unter Verwendung von Mitteln des Landes Steiermark möglich, das Bundesministerium für Auswärtige Angelegenheiten unterstützte bei den Reisekosten, die Gemeinde Kleinsölk und Stadt Graz finanzierten die Unterbringung bzw. die Dokumentation mit. Herzlicher Dank gebührt dem Volksbildungswerk St. Martin, den Firmen Sölker Marmor und Schenker Stinnes Logistics. Die Finanzierung vom filmischen Kunst-Opus INTIÑAHUI - Im Auge der Sonne wurde mit Unterstützung von Bundeskanzleramt - Film und Neue Medien, Bundesministerium für Auswärtige Angelegenheiten, Kulturabteilung des Landes Steiermark, Stadt Graz und Kulturabteilung des Landes Oberösterreich realisiert.

[SOL, Ausgabe 2/2005]

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Crossing Cultures [GLOBUS] - doc not available

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Im Auge der Sonne [Via Airportjournal]

Keine kleine Aufgabe: das ganze Leben in neun Symbolen abzubilden und künstlerisch umzusetzen. Der in Graz lebende Künstler Klaus Schrefler arbeitet mit seinem Team seit drei Jahren daran und steht nun kurz vor der Fertigstellung der ersten Phase seines Multimedia-Projektes „Intiñahui – im Auge der Sonne“. Von Ellen Berg

Beliebig dürfen die Dinge auf keinen Fall sein. Oder gar banal. Beides sind hoch favorisierte Schimpfworte von Klaus Schrefler. Die Gefahr der Banalität oder Beliebigkeit ist aber wohl auch nicht so groß, wenn man sich für ein Kunstprojekt entscheidet, das sich mit nichts Kleinerem als dem ganzen Leben beschäftigt. Und sich daran macht, den Kreislauf des Lebens in neun Symbole zusammenzufassen und künstlerisch umzusetzen.
Der in Linz geborene Künstler hat vor mehr als drei Jahren damit begonnen, im Rahmen eines 3D-Medienprojektes. Als Medienkünstler will sich Schrefler, der unter dem Künstlernamen KaRaSu arbeitet, deshalb aber nicht bezeichnen lassen. “Ich bin kein Medienkünstler oder Maler oder Fotograf, mir geht es darum, das geeignete Mittel zum Ausdruck eines Prozesses zu finden”, wehrt er sich gegen jede Festlegung. Und fügt hinzu: “Es ist in der Kunst einfach nicht interessant, immer das Gleiche zu machen.” Was wohl nicht nur für die Kunst gilt, wenn man einen Blick auf den Lebenslauf des 34-jährigen wirft. Biologie-Studium – “Kunst zu studieren war für mich nie ein Thema” –, Promotion, Unterrichtstätigkeit an der Grazer Uni, 1995 dann die Entscheidung, hauptsächlich als Künstler zu arbeiten. Es folgten Arbeiten und Ausstellungen als Maler, Fotograf, Videokünstler, in denen er sich lange Zeit vor allem mit dem Thema Gewalt auseinandersetzte – ehe vor drei Jahren die Arbeit an dem aktuellen Projekt begann.

Auslöser in Südamerika
Erste Formen angenommen hat die Idee während eines längeren Aufenthalts in Süd- und Mittelamerika. „Das Thema Lebenszyklus hat mich schon vor der Reise beschäftigt“, erzählt er, „es gab bereits einen ersten Drehbuchentwurf, der allerdings im Unterschied zum heutigen Projekt auf sieben Symbolen beruhte.“ Auslöser für die jetzige Form von “Intiñahui” – was auf Quechua “Im Auge der Sonne” bedeutet – war dann die Begegnung mit dem Bildhauer Luis Viracocha in Quito, Ecuador, der ihn mit der Zahlenmystik der indigenen Bevölkerung der Andenregion vertraut machte: Diese beruht auf den Zahlen eins bis neun, die jeweils für einen Bereich des Lebenszyklus stehen.

Prozess in drei Phasen
Nach seiner Rückkehr in die Steiermark begann Schrefler dann mit der Interpretation und Deutung, erarbeitete für jede Zahl ein Symbol und entwickelte sein Script weiter – zu einem filmischen Werk in Form von neun 3D-animierten Sequenzen, die jede Zahl und ihre Bedeutung lebendig werden lassen sollen. Bis Ende des Jahres wird diese Arbeit abgeschlossen und im Rahmen von Großprojektionen sichtbar werden.
„Für mich ist die Fertigstellung der Filmsequenzen aber erst der Abschluss einer ersten Phase des Gesamtprojektes“, schränkt er ein, „das visuelle Werk bildet eigentlich nur den Hintergrund der zweiten und dritten Phase des Prozesses, um den es mir geht.” In einer zweiten Phase sollen dann internationale Künstler das Ergebnis der Arbeit mit ihren jeweiligen Stilmitteln interpretieren. „Mein Ziel ist ein Brückenschlag zwischen Moderne und archaischem Wissen, ein Vereinen der Disziplinen“, legt er sich die Latte nicht gerade niedrig.

Diskussion provozieren
Teil drei des Projektes ist ein theoretischer Ansatz, der eine öffentliche Diskussion und Analyse der Situation der indigenen Kulturen vor dem Hintergrund geänderter globaler Rahmenbedingungen provozieren soll. Allerdings: „Hier geht es mir aber auch um die Darstellung durch die Betroffenen selbst, nicht um eine losgelöste Interpretation aus der begrenzten eigenen, europäischen Sicht“, betont er.
Die Chancen, dass alle drei Phasen umgesetzt werden können, stehen nicht schlecht: Sowohl aus Ecuador als auch aus Guatemala gibt es bereits Einladungen zur Realisierung der Pläne, in Österreich wird das Projekt vom Bundeskanzleramt, dem Außenministerium, den Bundesländern Steiermark und Oberösterreich sowie der Stadt Graz gefördert.
Wie weit der Weg zur Umsetzung einer einzelnen Phase ist, hat sich allerdings während des vergangenen Jahres gezeigt.
Mehr als 400.000 Einzelbilder stecken in den neun 3D-Sequenzen, eine Aufgabe, die sich nur mit Hilfe technischer Spezialisten bewältigen ließ und den Künstler erstmals in die Situation brachte, nicht als Solist, sondern mit einem Team ein Projekt umzusetzen. So arbeiten unter anderem Thomas Siegl, der bereits mit Vito Acconci an der Murinsel gearbeitet hat und für die 3D-Konstruktion und -Animation verantwortlich ist, sowie Elmar Ranegger, Mitinhaber von Imagewerk, der den Bereich Cut und Post Production übernommen hat, seit mehr als einem Jahr allein an der technischen Umsetzung dieser ersten Phase, die vorausgegangene künstlerische Arbeit und Konzeption nicht mit eingerechnet.

Kein Ende in Sicht
Ein Ende des Ganzen ist also nicht abzusehen. „Für mich ist das Ganze ein dynamischer Prozess, es gibt keinen direkten Schluss, jetzt ist bald einmal das Filmwerk fertig, und dann wird man weitersehen“, so Schrefler.
Wo genau allerdings die Filme in den kommenden Wochen präsentiert werden sollen, ist noch nicht klar. Möglichkeiten hat es zwar schon ein paar gegeben, aber die waren irgendwie zu beliebig. Oder banal. Und wie gesagt: Das kann er nun so überhaupt nicht leiden.

Infos über das Projekt finden sich unter der Adresse www.inti.at

[Via Airportjournal, Ellen Berg, 07-12-03]

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Steirermonat 03

Sprache indigener Völker des amerikanischen Kontinents, Sprache derer, die wir als Indianer bezeichnen. Cechua ist eine solche Sprache. Und in dieser Sprache bedeutet "Intñahui" ungefähr im "Auge der Sonne". Intiñahui ist aber auch ein Projekt des Grazer Künstlers und Wissenschaftlers Klaus Schrefler. Ein "Visual Media Kunstwerk in neun Teilen", das sich auf dem vom Grazer Kulturamt und seinem Leiter Peter Grabensberger systematisch erweiterten Kulturserver der Stadt Graz (www.kulturserver-graz.at) dem Auge des Betrachters eröffnet. Eine vielschichtige Auseinandersetzung mit dem Leben und seinen Erscheinungsformen. Animierte Bilder, Sounds, Fragen, komplexe Zusammenhänge, keine eindeutigen Antworten. Andeutungen zur Zeit, Phänomen-Vernetzungen. Klaus Schrefler: "Ein interdisziplinäres und interkulturelles Kunstwerk, eine Spirale rund um das Phänomen des Lebens, Vergangenheit, Gegenwart, Zukunft, Globalisierung, Unterdrückung, Körper, Geist."
Schrefler ist, wenn man das einmal so formulieren darf, ein in fortgeschrittenem Ausmaß denkender Künstler, eben auch noch dazu Wissenschaftler. Botaniker, Ökologe, visueller Technologe. Und, obwohl das auf den ersten Blik nicht immer so aussehen mag, niemals Esoteriker. In seinem Studio, das er als "Museum of Modern Crime" bezeichnet, ist in Zusammenarbeit mit Artisten wie Norbert Wally, Didi Bruckmayr und dem ecuadorianischen Bildhauer Luis Viracocha ein hochverdichtetes, durch Soundexpressionen unterlegtes visuelles Kunstwerk entstanden. Und man kann es anklicken!
[Steirermonat, Wolfgang Wildner, 27-03]

 

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